วันศุกร์ที่ ๒๙ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Littérature de la Restauration anglaise

La littérature de la Restauration anglaise (Restoration literature en anglais) est la littérature britannique produite de 1660 à 1689 en Angleterre, en Écosse, au Pays de Galles et en Irlande. L'expression fait référence à un ensemble d'œuvres au style relativement homogène, écrites dans le contexte de la Restauration anglaise et de l'avènement de Charles II d'Angleterre, suite à la chute d'Oliver Cromwell.
La période, qui correspond notamment à la fin de la dynastie des Stuarts, donna naissance à des écrits passionnés, souvent extrêmes ou aux antipodes les uns des autres. Le Paradis perdu de John Milton côtoie ainsi la sulfureuse Sodome du comte de Rochester, la libertine Provinciale de William Wycherley et l'érudit Traité du gouvernement civil de John Locke, sans oublier l'austère Voyage du pèlerin de John Bunyan. Cette époque de grande effervescence intellectuelle fut aussi le cadre de la fondation de la Royal Society, des expérimentations et des pieuses méditations de Robert Boyle, des attaques incendiaires de l'évêque Jeremy Collier contre l'art théâtral et des débuts de la critique textuelle, initiée par John Dryden et John Dennis. La presse écrite put par ailleurs se généraliser, tandis que l'essai ou la chronique devenaient des formes littéraires répandues et que l'économie boursière faisait son apparition.
Les bornes chronologiques de la période sont affaire de convention et diffèrent sensiblement selon le genre littéraire envisagé. Ainsi, le théâtre de la Restauration conserve une influence dominante jusqu'en 1700, alors que la poésie du même esprit décline dès 1666, au cours de la fameuse « année des miracles » (Annus Mirabilis) mise en vers par John Dryden. La prose de la Restauration, quant à elle, connaît sa crise à partir de 1688, suite aux tensions créées par la Glorieuse Révolution et par la montée en puissance du journalisme et des périodiques. De manière plus générale, le terme anglais « Restoration » est utilisé pour désigner la littérature florissante écrite sous le règne de Charles II, de 1660 à 1685, que ces écrits soient des odes célébrant le retour d'une aristocratie régénérée, des récits eschatologiques inspirés par le désespoir de la communauté puritaine, ou encore des textes en anglais simplifié destinés à seconder l'expansion croissante de l'empire commercial anglais à travers le monde.

วันจันทร์ที่ ๒๕ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Gaufre (cuisine)






Une gaufre est un type de pâtisserie cuit dans un moule à deux faces croisillonnées.
Types de gaufres
On peut trouver plusieurs types de gaufres :


Préparations chaudes:
La gaufre de Bruxelles: à base de lait et de farine fermentante, croustillante, saupoudrée de sucre semoule, de crème fouettée ou de fruits
La gaufre molle : à base de farine fermentante, la préparation devient plus molle
La gaufre de Liège (ou gaufre de chasse ou gaufre au sucre): les morceaux de sucre sont incorporés à une pâte levée
Préparations froides:

La galette : la recette se base sur une recette de 4/4 et la galette est moëlleuse
La galette fine, fourrée (miel, sirop vanilliné) ou pas. Elle est plutôt croquante.
Historique

Selon la légende, la gaufre de Liège fut inventée par le cuisinier du prince de Liège, au XVIIIe siècle. Celui-ci ayant demandé une pâtisserie sur base de gros morceaux de sucre perlé, le cuisinier tenta la cuisson d’une pâtisserie type brioche dans un gaufrier avec du sucre perlé mélangé à la pâte. Le parfum de vanille dégagé lors de la cuisson ravit le Prince et cette recette de gaufre entra bien vite dans les traditions culinaires de la région de Liège pour ensuite envahir rapidement tout le royaume de Belgique.

En plus de ces gaufres déjà bien connues, il existe aussi des gaufres aux Pays-Bas. Nées au XVIIIe siècle, elles furent d'abord des gaufres constituées de morceaux de pain rassis. Peu à peu, la recette se développa, et devint la gaufre fourrée de Gouda, telle qu'on la connaît aujourd'hui. Dans sa forme actuelle, elle est plate et fourrée d'un mélange à base de cannelle et de caramel. C'est en Hollande un produit très courant et très populaire. Le nom qu'il lui est donné est Stroopwafels, c'est-à-dire gaufres au sirop. On commence à en trouver dans plusieurs pays comme l'Allemagne ou la France, où elles s'appellent "gaufres d'or". V. (nl) Stroopwafel



Gaufres de Liège
Ingrédients



(Pour 15 à 25 gaufres)

1 kg de farine
75 gr de levure de boulanger
5 dl de lait et eau (tempérés)
50 gr de sucre fin
2 œufs
500 gr de margarine
50 gr de miel
10 gr de sel
vanilline ou cannelle
3 gr de bicarbonate de soude
600 gr de sucre perlé (gros)

Préparation



Faites une pâte levain avec 800gr de farine, la levure, le lait et l'eau, le sucre fin et les œufs. Laissez pousser pendant 15 minutes puis ajouter la margarine, le miel, 200gr de farine, le sel et la vanille ainsi que le bicarbonate de soude.
Pétrissez le tout pour obtenir une pâte homogène et laissez pousser pendant 10 minutes dans un endroit tempéré.
Ajoutez ensuite le sucre perlé et divisez en pâtons de 90 à 140gr selon le fer dont vous disposez et laissez pousser un peu .
Faites cuire à feu doux pour les grosses gaufres et à bon feu pour les fers à mailles peu profondes

วันพุธที่ ๒๐ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Lyon




Lyon est une ville française située au confluent du Rhône et de la Saône. C'est le chef-lieu du département du Rhône et de la région Rhône-Alpes.

Par sa taille, c'est la troisième ville de France (après Paris et Marseille) si l'on compte uniquement la population intra-muros[1], ou la seconde (devant Marseille) si l'on prend en compte toute l'aire urbaine.

Les habitants de Lyon sont les Lyonnais. Le parler lyonnais donne également aux jeunes personnes le surnom de gones (garçons) et de fenottes (filles). La devise de la commune est Avant, Avant, Lion le Melhor[2]. La sainte patronne est sainte Blandine. Les armoiries de Lyon sont constituées de gueules au lion d'argent, au chef cousu du Royaume de France (d'azur à trois fleurs de lys d'or).

La ville a conservé un patrimoine important allant de l'époque romaine au XIXe siècle en passant par la Renaissance et, à ce titre, est inscrite au Patrimoine mondial de l'Unesco.

Histoire


De Lugdunum, cité romaine et capitale des Trois provinces de Gaules, à Lyon, ville ouverte à l'international et grande aire urbaine de France, l'histoire de la ville passe par une longue appartenance à l'Empire romain, un rayonnement religieux qui éleva l'évêque de Lyon au rang de Primat des Gaules (mais déchira sa population lors des guerres de religion).

Lyon, royaliste pendant la Révolution française, est destitué de son nom jusqu'à la prise de pouvoir de Napoléon Bonaparte, le futur Empereur des Français.

Ses célèbres canuts furent de grands acteurs de sa révolution industrielle, période qui vit également l'inauguration entre 1830 et 1832 de la première grande ligne française (58 km) de chemin de fer reliant Saint-Étienne à Lyon. Lyon a vu naître de grandes inventions comme le métier à tisser de Jacquard, la machine à coudre par Thimmonier, et le cinématographe des Frères Lumière.

Lyon est reconnu comme la capitale de la Résistance, grâce notamment au Préfet Jean Moulin pendant la Seconde Guerre mondiale.

Économie

Lyon et sa région constituent un pôle de développement de niveau européen. Sa position de carrefour de communication favorise son attraction et son rayonnement. La région lyonnaise a une longue tradition d'initiatives économiques et technologiques : banque et imprimerie à la Renaissance, puis génie mécanique et recherche scientifique en médecine, physique, virologie... Tous les secteurs industriels sont représentés, mais on peut mettre en exergue plusieurs domaines dans lesquels Lyon jouit d'une réputation internationale : la mécanique, le textile, la chimie et la pharmacie, la santé. La ville de Lyon travaille en partenariat avec les acteurs publics locaux pour faciliter la création et l'installation des entreprises sur son territoire, l'ADERLY, la Chambre de commerce et d'industrie, et le Grand Lyon. La ville a aussi une tradition d'innovation sociale. De nombreux instigateurs d'action sociale se sont engagés par le biais religieux (Père Chevrier) ou en initiant le mouvement humanitaire (nombreuses ONG) et en cherchant à concilier dynamisme économique et progrès social. Lyon est le siège de la Chambre régionale de commerce et d'industrie de Rhône-Alpes. Elle est le siège aussi de la Chambre de commerce et d'industrie de Lyon qui gère, outre les aéroports de Lyon (voir Communications extérieures plus haut), des zones d'activités.

วันอังคารที่ ๑๙ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

วันเสาร์ที่ ๑๖ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Dorothée


Dorothée, de son vrai nom Frédérique Hoschedé, est une chanteuse, actrice, speakerine et animatrice de télévision française née le 14 juillet 1953 à Bourg-la-Reine dans les Hauts-de-Seine.

Biographie
De Récré A2 à la chanson

Frédérique Hoschedé est remarquée par Jacqueline Joubert lors d'un concours de théâtre amateur où elle joue Un caprice d'Alfred de Musset. Elle débute en 1973 dans les Mercredis de la jeunesse sous le pseudonyme "Dorothée", avec pour partenaire la marionnette Blablatus, avant de tenir la rubrique "Le Club" dans l'émission Les Visiteurs du mercredi, jusqu'en 1975. En 1977, Jacqueline Joubert lui confie la présentation de l'émission jeunesse Dorothée et ses amis, qui deviendra en 1978 Récré A2.

La même année, Dorothée joue dans L'amour en fuite, de François Truffaut. Elle renouvelle cette expérience en 1980 avec le premier rôle féminin dans Pile ou face de Robert Enrico, aux côtés de Michel Serrault et Philippe Noiret. Elle rencontre Jean-Luc Azoulay et Claude Berda, d'AB Productions, et signe comme chanteuse. Elle connaît dès lors un immense succès avec Tchou tchou le petit train, Rox & Rouky (1981), Hou ! la menteuse (1982) et Les Schtroumpfs (1983).

En 1985 elle découvre les États-Unis et veut importer en France (avec l'accord de Jerry Lewis) une émission qui l'a émue jusqu'au plus profond d'elle-même : le Téléthon. Sur Antenne 2 on lui répondra que ce genre d'émission ne marchera jamais en France et que de toute façon elle n'est pas assez célèbre pour la présenter. Jacqueline Joubert lui fera elle aussi signe de "se calmer".

Parallèlement à son métier d'animatrice, elle suit une carrière de chanteuse pour enfants, avec des tubes signés Jean-François Porry (alias Jean-Luc Azoulay, l'un des deux dirigeants d'AB) et Gérard Salesses : elle sortira 16 albums entre 1982 et 1996, vendra 17 millions de disques, remplira 50 fois Bercy (elle détient à ce jour ce record devant Mylène Farmer) de 1990 à 1996, et petit à petit se démarquera musicalement de son "aînée" Chantal Goya, en se dirigeant vers un répertoire de chansons sentimentales ou néo-rock.


Le Club Dorothée
Elle poursuit Récré A2 jusqu'en 1987, jusqu'à ce qu'elle soit contactée par TF1, afin d'animer le désormais célèbre Club Dorothée (21 heures de programme hebdomadaires). Entourée d'une bande d'animateurs (Ariane, Corbier, Patrick et Jacky), cette émission connaîtra de grands succès d'audience de 1987 à 1997. Cependant, de vives polémiques se feront entendre sur la violence de certaines séries d'animation programmées. En effet, des associations de défense des téléspectateurs, relayées par certaines personnalités politiques (Catherine Tasca, Ségolène Royal), se plaindront auprès du CSA qui sanctionnera TF1. Le Club Dorothée souffre alors d'un sévère déficit d'image auprès des parents, et sera supprimé par TF1 en 1997. Dès lors, Dorothée se fera extrêmement discrète dans les médias.

Cependant, la carrière de Dorothée se poursuit indirectement sur Internet où des dizaines de sites de fans voient le jour à partir de 1998.

La carrière du Club Dorothée est relancée le 16 mai 2006 par une soirée spéciale sur AB1 : les années Club DO présentée par Jacky. Cette soirée spéciale a été composée d'une rétrospective d'une heure sur les grands moments de l'émission culte, d'un super Club Dorothée, des aventures de Dorothée et de Pas de pitié pour les croissants entrecoupés de clips de Dorothée (dont le medley des valises, inédit). De novembre 2006 à mars 2007, cette émission est devenue quotidienne (de 19h45 à 20h40 du lundi au vendredi) et présentée par Jacky. On peut ainsi y retrouver de nombreuses séquences du célèbre Club Dorothée ainsi qu'un dessin animé et un épisode de Pas de Pitié pour les Croissants.


Les années 2000
Après l'échec du projet de chaîne de télévision pour la famille et la jeunesse Do TV en 2002, c'est l'échec du projet Club Récré (nom évoquant les deux émissions cultes présentées par Dorothée) en avril 2005 de Jean-Luc Azoulay, qui n'obtient pas de canal sur la TNT. Si le projet avait été approuvé, Dorothée aurait été conseillère éditoriale de la chaîne, préférant laisser l'antenne à de jeunes animateurs.

Dorothée n'est réellement sortie de son silence médiatique que trois fois : à l'occasion de L'École des fans en 1998, de Vivement dimanche en décembre 2005, où elle fut l'invitée de Chantal Goya chez Michel Drucker et en décembre 2006 où elle apparaît sur la scène de l'Olympia en tant que marraine de la comédie musicale pour enfants "Au Royaume des Bonbons". Profitant de ce regain d'intérêt (l'émission Vivement dimanche a beaucoup fait parler d'elle), un remix de Hou la menteuse, signé Guillaume Stanczyk, sort en janvier 2006, jusqu'à atteindre la 6e place du Top 50 en quelques semaines, suivi en juillet par le remix de La valise (au succès plus modéré). La sortie d'un coffret DVD et d'un CD Live Best-of, regroupant les principaux concerts de Dorothée à Bercy (1990, 1992, 1994 et 1996), voit le jour dans la foulée.

Elle est marraine de la comédie musicale pour enfants Eric le roi des bêtises et le Professeur Je-Sais-Tout au Royaume des Bonbons. En novembre 2006, Dorothée réapparaît sur Internet dans des extraits d'un pilote d'émission de cuisine diffusés sur le site Dailymotion, qui provoquent un certain emballement médiatique inattendu (Dorothée se retrouve ainsi en « une » du quotidien gratuit Metro), qui y voient un vrai retour en marche. Il semble néanmoins que Dorothée n'ait pas participé à ce projet (réalisé par son ami Pat Le Guen) dans ce but et les vidéos sont rapidement supprimées. Le single du remix Allô, allô, Monsieur l'Ordinateur est en vente le 4 décembre suivant. Mais la publicité est quasi inexistante, si bien que Jean-Luc Azoulay prépare une nouvelle sortie du titre pour le printemps 2007.

วันพฤหัสบดีที่ ๑๔ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Chien





Le chien (Canis lupus familiaris) est un mammifère domestique de la famille des canidés, proche du loup. Le chien n'est plus, pour le moment, considéré comme une espèce à part entière mais comme une sous-espèce de Canis lupus. Chien et loup sont ainsi de même espèce. Les anciennes appellations scientifiques du chien, Canis canis ou encore Canis familiaris, ne sont donc plus d'actualité.

C'est aussi une appellation pour plusieurs autres espèces de canidés de type Atelocynus et Speothos, voire de rongeurs du genre Cynomys (chien de prairie).

La femelle du chien s'appelle la chienne et un jeune chien est appelé un chiot. Le chien glapit, jappe ou aboie.

Il existe de nombreuses races de chiens. Environ les trois quarts de celles reconnues sont très anciennes et issues de la sélection naturelle sur la morphologie, combinée à une sélection artificielle sur le comportement (exemples : Husky sibérien, Berger de Brie). Les dernier quart est issu d'une sélection artificielle récente (exemples : Berger allemand, Golden Retriever) ; ces dernières sont souvent les plus populaires car modelées à la convenance de l'homme.

Histoire
La domestication du loup débute entre 16000 et 15000 avant J.-C. dans des groupes de chasseurs. En comparaison, le cheval sera domestiqué par des groupes nomades entre 4000 et 3000 avant J.-C.

Le chien aurait été simplement apprivoisé parmi d'autres animaux, tels les chacals ou les rongeurs. Mais c'est le seul maintenu en dépendance, car il aurait montré le plus d'aptitudes à une socialisation primitive. Le chien a pour ancêtre le loup mais des expériences, en cours depuis une cinquantaine d’années avec des croisements sélectifs de renards semblent donner des résultats similaires à ceux observés chez le chien (comportement particulièrement social, pédomorphisme, tempérament enfantin...).

Le chien primitif serait un chien de chasse qui aidait l'homme.

Dans l'Antiquité, les chiens servaient aux combats, à la production de viande et étaient aussi supports de croyances et de rites de type religieux.
Plus tard, sous l'Empire romain, ils étaient des animaux de compagnie, des gardiens de troupeaux et utilisés pour la chasse.
Au Moyen Âge, dans les campagnes et les milieux populaires, les chiens suscitent des peurs collectives et faisaient l'objet d'exterminations quotidiennes. Pour la noblesse, par contre, ce fut l'âge d'or de la vénerie.
À la Renaissance, la passion des hommes pour la chasse parvint à conserver une place aux chiens dans la société. La noblesse considérait le chien comme un signe de puissance et de grandeur. Ceci permit le développement de races de chiens de compagnie.
Au XIXe siècle, la population de chiens connaît une expansion numérique. Il est devenu un animal commun.
Vers 1850, les anciennes races de chiens sont reconnues officiellement et leur type est homogénéisé (fixé) tandis que de nouvelles races créées par l'homme apparaissent. C'est l'apparition de la cynophilie.
À la Belle Époque, puis entre les deux guerres, les artistes, les écrivains, et les politiciens choisissent des animaux qui les différencient du commun


Nom des chiens
En France, une règle impose que tous les chiens portant un pedigree qui naissent une même année portent des noms commençant par la même lettre. Cette règle a été instaurée pour mettre de l'ordre dans le « Livre des origines français » ou LOF, registre d'état civil canin depuis 1885.
Durant longtemps, les propriétaires n'étaient pas contraints de déclarer rapidement leur animal et certains le faisaient même plusieurs années après la naissance. De ce fait, le fichier national était vite devenu un véritable casse-tête lors des consultations puisque les chiens n'étaient pas inscrits dans l'ordre chronologique de la date de leur naissance.

En 1926, la Société centrale canine, chargée de tenir à jour le registre « LOF », met en place un premier système de lettrage pour simplifier la consultation. Tous les chiens nés une même année doivent porter dorénavant un nom dont la première lettre est celle choisie pour l'année en cours : « A » en 1928, « B » en 1929, etc. Cependant de 1948 à 1952, de nombreux propriétaires se sont insurgés contre ce système qui leur imposait les lettres « W », « X », « Y » ou « Z », car elles offraient trop peu de possibilités de noms, ce qui eut pour conséquence qu'en 1952 un chien sur quatre portait le nom de « Zorro ».

Finalement, en 1973, la Société centrale canine supprima définitivement les lettres jugées difficiles « K », « Q », « W », « X », « Y » ou « Z », réduisant à vingt l'alphabet des noms canins.


Sens
Le cerveau du chien est d'assez petite taille, puisqu'il ne pèse, en moyenne, que les deux tiers de celui du loup. En revanche il possède des sens très développés.

Le sens de l'odorat, 35 fois plus développé chez le chien que chez l'homme. Sa membrane olfactive mesure 130 cm² (contre 3 cm² chez l'homme).
L'ouïe est aussi un sens très précis: le chien est capable d'entendre des sons inaudibles pour l'homme (ultrasons). De plus, les oreilles du chien peuvent s'orienter vers une source sonore en pivotant grâce à de nombreux muscles. Enfin, il peut dissocier des sons et donc n'entendre que les « sons intéressants ».
La vision du chien est meilleure de nuit, car, même s'il distingue mal les couleurs (il est incapable de voir le rouge, son spectre visuel allant du jaune au bleu) et les détails, il possède une surface réfléchissante derrière la rétine (le Tapetum Lucidum), qui renvoie la lumière et donne un effet d'yeux brillants dans l'obscurité. Le champ de vision du chien est d'environ 250 degrés.
Le toucher est en revanche peu perfectionné chez le chien. Ce dernier fera la différence entre une caresse et une correction, la chaleur et le froid, mais de façon limitée.
De même, le goût est peu développé puisque son rôle, relativement limité, est comblé par un odorat fin.

วันพุธที่ ๑๓ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Croissant



A croissant is a buttery flaky pastry, named for its distinctive crescent shape.
Crescent-shaped breads have been made since the Middle Ages.[citation needed]
Croissants are made of a leavened variant of puff pastry by layering yeast dough with butter and rolling and folding a few times in succession, then rolling. Making croissants by hand requires skill and patience; a batch of croissants can take several days to complete. However, the development of factory-made, frozen, pre-formed but unbaked dough has made them into a fast food which can be freshly baked by unskilled labor. Indeed, the croissanterie was explicitly a French response to American-style fast food. This innovation, along with the croissant's versatility and distinctive shape, has made it the best-known type of French pastry in much of the world. In many parts of the United States, for example, the croissant (introduced at the fast food chains Arby's in the United States and Tim Hortons in Canada in 1983) has come to rival the long-time favorite doughnuts[citation needed].



Origin
A croissant rising from unbaked dough
Stories of how the bread was created are modern culinary legends. These include tales that it was invented in Poland to celebrate the defeat of a Muslim invasion at the decisive Battle of Tours by the Franks in 732, with the shape representing the Islamic crescent; that it was invented in Vienna in 1683 to celebrate the defeat of the Turkish siege of the city, as a reference to the crescents on the Turkish flags, when bakers staying up all night heard the tunneling operation and gave the alarm; a version that is supported by the fact that croissants in the French Language are referred to as Viennoiserie (a similarly shaped Romanian pastry called "cornulet" (meaning "little horn") is partially referenced in the movie The Terminal) and croissant is the French word for crescent; tales linking croissants with the kifli and the siege of Buda in 1686; and those detailing Marie Antoinette's hankering after a Viennese specialty. Alan Davidson, editor of the Oxford Companion to Food states that no printed recipe for the present-day croissant appears in any French recipe book before the early 20th century; the earliest French reference to a croissant he found was among the "fantasy or luxury breads" in Payen's Des substances alimentaires, 1853.

Variants
Croissant pastry can also be wrapped around almond paste or chocolate before it is baked (in the latter case, it becomes like pain au chocolat, which has a different, non-crescent, shape), or sliced to admit sweet or savoury fillings. In France, croissants are generally sold without filling and eaten without added butter, but sometimes with almond filling. In the United States, sweet fillings or toppings are common, and warm croissants may be filled with ham and cheese or feta cheese and spinach. In the Levant, croissants are sold plain or filled with chocolate, cheese, almonds, or zaatar.

วันอังคารที่ ๑๒ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Baguette



A baguette (French for "little stick") is a variety of bread distinguishable by its much greater length than width, and noted for its very crispy crust. A standard baguette is five or six centimeters wide and three or four centimeters tall, but can be up to a meter in length. It is also known in English as a French stick or a French loaf.

Shorter baguettes are very often used for sandwiches. These sandwich-sized loafs are sometimes known as demi-baguettes or tiers. Baguettes are often sliced and served with pâté or cheeses. As part of the traditional continental breakfast in France, slices of baguette are spread with jam and dunked in bowls of coffee or hot chocolate.

Baguettes are seen as closely connected to France and especially to Paris, though they are available around the world. In France, not all long loaves are baguettes — for example, a standard thicker stick is a flûte and a thinner loaf is a ficelle.

French food laws define bread as a product containing only the following four ingredients: water, flour, yeast, and salt. The addition of any other ingredient to the basic recipe requires the baker to use a different name for the final product.

The baguette is a descendant of the bread developed in Vienna in the mid-19th century when steam ovens were first brought into use, helping to make possible the crisp crust and the white crumb pitted with holes that still distinguish the modern baguette. Long loaves had been made for some time but in October 1920 a law prevented bakers from working before 4am, making it impossible to make the traditional, often round loaf in time for customers' breakfasts. The slender baguette solved the problem because it could be prepared and baked much more rapidly.


In recent years, an amusing myth about the history of the baguette has sprung up, probably created by the imagination of Madison Avenue's advertising industry, according to some sources [2]. The story goes that the baguette was developed during Napoleon's campaigns against the Russians. His soldiers were told to pack extra clothes for the cold weather in the East but this left minimal space for food. The baguette was shaped so that it could be stored down the soldiers' trouser legs. The myth becomes less convincing, however, when it is known that Napoleon's armies traveled with mobile bakery units,[3] making it less likely that the individual soldier would have had to carry his own bread. A glance at the uniforms, furthermore, will dispel any remaining suspicion that the trouser legs might have had room for loaves of bread. [4]

Trivia

A baguette recently was shown in a Smosh short video, Food Battle 2007, pronounced 'Baggot' and was misheard as an insult.

วันจันทร์ที่ ๔ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๐

Joaillerie


La taille des diamants s'effectue surtout à Anvers (Belgique), à Tel-Aviv (Israël) et au Gujarat (Inde) par la communauté jaïn. En Thaïlande, ce sont les pierres précieuses (rubis et saphirs) qui sont taillées.
Le degré de la beauté de l’arc-en-ciel du diamant dépend, en grande partie, de la sculpture et du poli de la pierre. Bien que naturellement les diamants aient leurs éclats propres, ceux-ci peuvent être améliorés et multipliés par la taille experte d’un lapidaire.
Du fait de son extrême dureté, le diamant ne peut être usiné que par un autre diamant, c’est pourquoi la sculpture et le poli de la pierre en sont les éléments les plus importants.
Avant de le tailler, on examine la gemme pour déterminer ses plans de clivage. On trace ensuite sur elle une ligne qui marque le périmètre de ces plans. Sur celui-ci, on fait une petite cannelure avec une espèce de bois qui porte dans son extrémité un diamant. Par cette ouverture, on introduit une fine lame d’acier, on donne un coup sec et la pierre se divise en deux.
Il existe de nombreuses façons de tailler le diamant, mais la plus connue, celle qui met le mieux en valeur la beauté du diamant et qui est de ce fait la plus utilisée, est certainement la taille « brillant ». Cette technique perfectionnée permet de transformer les pierres brutes en véritables joyaux de lumière, en faisant apparaître 58 facettes (57 si l'on ne tient pas compte de la collette) : 33 sur la couronne et 24 sur la culasse, régulières et de tailles définies précisément, à la surface du diamant.
En effet, si les notions de pureté et de couleur paraissent familières, les proportions de taille le sont plus rarement. Pourtant, ces dernières sont un facteur de qualité essentiel. Elles conditionnent directement le rendu de brillance et le « feu » du dia­mant. À couleur identique, un dia­mant possédant de bonnes proportions sera bien plus éclatant qu’un diamant pur incorrectement taillé.
Depuis l’apparition de la taille Tolkovskyen (1919), les diamantaires n’ont cessé de chercher à optimiser le rendu de brillance du diamant. De toutes les tailles du diamant, c’est certainement la forme ronde brillant qui a été la plus étudiée et qui est la plus aboutie ; aujourd’hui, les proportions appliquées à cette taille résultent directement de la compréhension des lois optiques du matériau et de la maîtrise de la tech­nique de taille et du polissage.
Au Japon est très apprécié la taille flèche et cœurs, nommée ainsi à cause des formes des jeux de lumière.




Les qualités de certains diamants (comme leur pureté, leur taille importante et leur couleur) font du diamant, la plus célèbre des pierres précieuses en joaillerie.
La beauté de son brillant est due au fait qu’il possède un haut
indice de réfraction de la lumière et un grand pouvoir dispersif : en pénétrant, les rayons de lumière sont réfléchis à l’intérieur de la pierre à l’infini et la lumière blanche se disperse, retourne à l’intérieur transformée en un éventail de couleurs. Les diamants (comme les gouttes d’eau) fonctionnent comme des prismes en freinant, plus ou moins en fonction des longueurs d'onde (violette au maximum, rouge au minimum) de façon que les couleurs soient dispersées sous forme d’arc-en-ciel.
Mais tous les diamants ne sont pas utilisés en bijouterie. Tout défaut peut leur ôter de la valeur et ils sont alors employés pour des applications industrielles. Généralement ceci arrive avec ceux qui présentent des bulles internes ou des particules étrangères, ou s’ils sont de forme irrégulière ou pauvrement colorés.


Exploitation minière

Le processus d’extraction est très diversifié, puisqu’il dépend de la région dans laquelle le diamant est exploité. Mais, en général, les opérations se divisent en trois parties :
l’élimination des éléments stériles (terre et pierre qui couvre le sable diamantifère) ;
l’extraction ;
le lavage.

Du fait du coût de l’exploitation des mines (dix tonnes de minerai permettent d’extraire seulement un
carat de diamant), seules les entreprises investissent dans ces zones qui leur garantissent une production importante : généralement, des kilomètres carrés de terrain sont excavés pour obtenir une gemme de taille appréciable, d’où le coût des diamants.