วันอาทิตย์ที่ ๓๐ พฤศจิกายน พ.ศ. ๒๕๕๑

สกุลเงิน

สกุลเงิน คือหน่วยที่ใช้ในการแลกเปลี่ยนในรูปแบบของเงิน สกุลเงินจะเปลี่ยนแปลงขึ้นอยู่กับแต่ละประเทศหรือกลุ่มประเทศ โดยการแลกเปลี่ยนเงิน หรือการซื้อของหรือบริการ ระหว่างประเทศที่ใช้สกุลเงินต่างกัน จะใช้ อัตราแลกเปลี่ยนเงิน เป็นเกณฑ์ในการอ้างอิง ในหลายๆ ประเทศสกุลเงินสามารถมีชื่อเดียวกันได้เช่น ดอลล่าร์สหรัฐ ดอลล่าร์ฮ่องกง และดอลล่าร์แคนาดา และในหลายประเทศใช้ สกุลเงินเดียวกัน เช่นในประเทศแถบยุโรปหลายประเทศใช้สกุลเงินยูโร และในบางประเทศใช้หน่วยเงินของประเทศอื่นเป็นเกณฑ์เช่น ประเทศปานามา และ ประเทศเอลซาวาดอร์ ใช้สกุลเงิน ดอลล่าร์สหรัฐ
สกุลเงินทั่วไปจะมีหน่วยสกุลเงินย่อย โดยส่วนมากจะเป็นอัตราส่วน 1/100 ของสกุลเงินหลัก เช่น 100 สตางค์ = 1 บาท หรือ 100 เซนต์ = 1 ดอลล่าร์ แต่บางสกุลเงินจะไม่มีหน่วยย่อยเช่น สกุลเงิน
เยน ในหลายหลายประเทศเนื่องจากเงินเฟ้อ ทำให้สกุลเงินย่อยมีการเลิกใช้ไป





เอเชีย
กีบ (ลาว) · จ๊าด (พม่า) · ด่อง (เวียดนาม) · ดอลลาร์ (บรูไน) · ดอลลาร์ (สิงคโปร์) · บาท (ไทย) · เปโซ (ฟิลิปปินส์) · เยน (ญี่ปุ่น) · รูเปียห์ (อินโดนีเซีย) · ริงกิต (มาเลเซีย) · รูปี (อินเดีย) · รูปี (เนปาล) · เหรินหมินปี้ (จีน) · เรียล (กัมพูชา) · วอน (เกาหลีเหนือ) · วอน (เกาหลีใต้) · ริยาล (ซาอุดีอารเบีย) · ริยาล (กาตาร์) · เดแฮม (สหรัฐอาหรับเอมิเรตส์).ดอลลาร์ (ไต้หวัน)








อเมริกาใต้
เรียล (บราซิล)








วันเสาร์ที่ ๒๕ ตุลาคม พ.ศ. ๒๕๕๑

Gemme


Une gemme est une pierre fine, précieuse ou ornementale ou n'importe quelle matière très dure ou colorée ayant l'aspect de ces pierreries et utilisée comme ornement.
Pour mériter l'appellation de gemme, cette matière (
minéral, roche ou une substance organique telle que perle ou ambre) doit être belle, surtout par sa couleur. Elle doit être peu altérable, et assez solide pour survivre à un usage constant ou aux manipulations, sans se rayer ou s'endommager.
Pierre brute arrachée à la terre par le mineur, une gemme est souvent taillée par le
lapidaire pour finir montée sur une bague, en boucle d'oreille ou tout autre ornements de joaillerie. Elle peut être naturelle, traitée ou fabriquée artificiellement (pierre synthétique).
La gemmologie est la science des gemmes..


Les pierres gemmes


Dans la législation française[1] les appellations « pierre gemme », « pierre ornementale », « pierre précieuse » sont regroupées sous l'appellation unique de « pierres gemmes » par souci d'harmonisation avec la nomenclature de la CIBJO[2] (commission internationale bijouterie, joaillerie, orfèvrerie) qui ne distingue pas entre les trois expressions[3]. « Pierre précieuse » ne peut s'appliquer qu'à un produit naturel. Cette commission traite à part le diamant.
le
diamant, transparent, (bleu pâle, blanc très transparent et brillant...),
l'
émeraude, transparente, (vert foncé),
le
rubis, transparent, (rouge à écarlate),
le
saphir, transparent, (bleu clair à moyen),
l'
aigue-marine, transparente, (bleu vert pâle)
l'
améthyste, transparente, (violet)
la
citrine,
le
cristal de roche, transparent, (clair)
la
cordiérite,
l'
alexandrite, variété de chrysoberyl.
le
grenat, translucide, (rouge, marron, vert ou violet),
le
péridot,
la
tanzanite,
la
topaze, transparente, bleue claire à foncée,
la
tourmaline, transparente, (vert, bleu, marron ou rouge pâle),
le
zircon , transparent, (incolore, bleu, vert pâle à vert, brun, etc. ).
l'
agate, translucide, (rayée marron, bleu, blanc, rouge),
l'
ambre, transparent, (diverses nuances de jaune ou d'or),
l'
azurite, opaque, (tachetée bleu foncé),
la
calcédoine, opaque, (blanche),
le
corail rouge, opaque, (rouge écarlate),
la
cornaline, rouge à brun-rouge
l'
hématite, opaque, (gris noir),
le
jade, translucide, (vert pâle, foncé, vert et blanc),
le
jais, opaque, (noir),
la
jaspe, opaque, (bleu, avec reflet noir à marron),
le
lapis-lazuli, opaque, (bleu clair et foncé, taches jaunes),
la
malachite, opaque, (striée, vert clair et foncé),
la
marcassite,
l'
obsidienne, opaque, (noir),
l'
onyx, transparent, (noir pur, blanc pur, ou bandes),
l'
opale, translucide, (bleu pâle avec taches vert et or),
la
perle, translucide, (blanc, jaune, rose, noire),
la
pierre de lune, translucide, (blanche avec lueur bleue pâle),
la
sardoine, opaque, (orange à marron rouge),
le
spinelle, transparent, (rouge, marron, vert foncé),
la
turquoise, opaque, (bleu vert pâle).

วันเสาร์ที่ ๑๓ กันยายน พ.ศ. ๒๕๕๑

Jumeau


Littéralement, le terme jumeau se réfère à tous les individus (ou l'un de ceux-ci) qui ont partagé le même utérus et qui sont nés le même jour. Les triplés (ou quadruplés) sont donc 3 (ou 4) jumeaux.Dans le langage courant, on parle habituellement de jumeaux pour désigner une naissance double.Il existe des cas documentés où l'un des jumeaux est né plus tard que son « colocataire ».
Il y a une limite physiologique, volume et poids par exemple, à ce qu'une mère peut porter. Pour cette raison, il est notablement plus rare que celle-ci puisse mener à terme une grossesse multiple. Pour des raisons de santé chez la mère, une grossesse de jumeaux doit être plus suivie qu'une grossesse « classique ». En revanche, l'accouchement très prématuré a des conséquences importantes sur la santé des enfants. Mais les
obstétriciens surveillent également une grossesse gémellaire proche du terme et peuvent parfois privilégier une naissance avec 2 semaines d'avance.

วันพุธที่ ๑๓ สิงหาคม พ.ศ. ๒๕๕๑

Fête des mères


Histoire
Les premières traces de célébration en l'honneur des mères sont présentes dans la Grèce antique lors des cérémonies printanières en l'honneur de Rhéa (ou Cybèle), la Grande mère des dieux. Ce culte était célébré aux Ides de Mars dans toute l'Asie mineure :
La Grèce antique fêtait au printemps la déesse
Rhéa, mère de Zeus et de ses frères et sœurs
Une
fête religieuse romaine célébrait les matrones le 1er mars, lors des Matronalia
Au
XVe siècle, les Anglais fêtaient le Mothering Sunday, d'abord au début du carême puis le quatrième dimanche du printemps
1908 : les États-Unis instaurent le Mother's Day, en souvenir de la mère de l'institutrice Anna Jarvis
1914 : le Royaume-Uni l'adopte à son tour
1932 : l'Allemagne l'officialise
Belgique, Danemark, Finlande, Italie, Turquie, Australie suivent
France
1806 : Napoléon tente de relancer la fécondité et, prône les vertus de la famille lors de fêtes
1918 : Lyon célèbre la Journée des mères en hommage aux mères et aux épouses qui ont perdu leurs fils et leur mari
1920 : Fête des mères de familles nombreuses[1]
1929 : le gouvernement officialise cette Journée des mères
1941 : le régime de Vichy inscrit la Fête des mères au calendrier
1950 : la loi n° 50-577 du 24 mai 1950, publiée dans le Journal officiel du 25 mai 1950, fixe la fête des mères au dernier dimanche de mai. Ces dispositions ont été intégrées en 1956 au Code de l'action sociale et des familles. L'article R. 215-1 prévoit que « Chaque année, la République française rend officiellement hommage aux mères, au cours d’une journée consacrée à la célébration de la "Fête des mères" »[2]. L'article D. 215-2 du même code ajoute que « La fête des mères est fixée au dernier dimanche de mai. Si cette date coïncide avec celle de la Pentecôte, la fête des mères a lieu le premier dimanche de juin »[3].

วันศุกร์ที่ ๘ สิงหาคม พ.ศ. ๒๕๕๑

Jeux olympiques


Les Jeux olympiques (appelés aussi les JO ou les Jeux; en grec ancien Οἱ Ὀλυμπιακοὶ ἀγῶνες [hoi Olympiakoí agônes]) sont un ensemble de compétitions sportives mondiales organisées tous les quatre ans (une olympiade est une période de quatre ans).
Originellement tenus dans la
Grèce antique (voir Jeux olympiques antiques), ils ont été remis au goût de l'époque et réintroduits par le baron Pierre de Coubertin à la fin du XIXe siècle. Les Jeux olympiques modernes ont lieu depuis 1896 tous les quatre ans, hormis lors des deux guerres mondiales.
Les Jeux olympiques modernes comprennent deux compétitions :
Les
Jeux olympiques d'été depuis 1896
Les
Jeux olympiques d'hiver depuis 1924, tenus d'abord la même année que les Jeux olympiques d'été jusqu'en 1992, puis décalés de deux ans depuis 1994



Les Jeux olympiques antiques


De nombreux mythes entourent l'origine des Jeux olympiques antiques. L'une raconte qu'Héraclès construisit le stade olympique ainsi que les bâtiments alentours en l'honneur de son père Zeus, après avoir accompli ses douze travaux. Il aurait parcouru 600 pas et nommé cette distance un stade, ce qui devait plus tard devenir une unité de longueur équivalente à environ 192 mètres.
Les premiers Jeux olympiques sont réputés avoir pris place en
776 av. J.-C. sur l'initiative d'Iphitos, roi d'Élide. Cette année marque le début du calendrier olympique, selon lequel les années sont regroupées en olympiades. C’est également l'an 1 du calendrier grec adopté en 260 av. J.-C. Toutefois, il est probable que les Jeux aient été encore plus anciens, compte-tenu de l'abondance des offrandes de l'époque géométrique retrouvées à Olympie. Dès lors, les Jeux gagnèrent en importance dans toute la Grèce antique, mais il existe près de 300 réunions sportives du même type, les agônes. Les Jeux olympiques sont les plus prestigieux avec les Jeux pythiques, les Jeux néméens, les Panathénées et les Jeux Isthmiques.
Le programme des compétitions comprend des épreuves
hippiques (chars à deux ou quatre chevaux) et des épreuves gymniques (course à pied sur plusieurs distances, lancer du disque, saut en longueur, lancer du javelot, pentathlon[1], lutte, pugilat et pancrace). Disque, longueur et javelot ne donnent pas de titre olympique mais font partie des cinq épreuves du pentathlon avec la course du stade et la lutte[2].
Coroebos ouvre le palmarès olympique officiel en remportant la course pédestre du stade en 776 av. J.-C.[3]. Parmi les autres principaux athlètes Grecs des Jeux antiques, citons notamment Milon de Crotone (lutte, VIe siècle av. J.-C.), Diagoras de Rhodes (boxe, Ve siècle av. J.-C.), Polydamas de Skotoussa (pancrace, VIe siècle av. J.-C.), Léonidas de Rhodes (course, IIe siècle av. J.-C) et Melankomas de Caria (boxe, 1er siècle ap. J.-C.).
À partir de la septième olympiade (
752 av. J.-C.), le champion olympique reçoit une couronne d’olivier sauvage, un ruban de laine rouge, la tænia, et une branche de palmier. Le Messénien Daikles est le premier champion olympique honoré ainsi.
Réservés d'abord aux seuls citoyens masculins Grecs, les Jeux génèrent une trêve olympique. Toutes les guerres en cours doivent être suspendues pour permettre la tenue des Jeux entre cités rivales. La portée d'un titre olympique est considérable. Les champions sont d'authentiques héros populaires et sont couverts de cadeaux et d'honneurs à leur retour dans leur cité. Ils sont de plus pleinement professionnels
[4] depuis le Ve siècle av. J.-C. et peuvent changer de cité dont ils défendent les couleurs. Ces véritables transferts provoquent souvent des troubles, parfois importants, dans la cité « trahie ». On peut ainsi citer le cas de Astylos de Crotone (6 titres olympiques), qui passe de Crotone à Syracuse en 484 av. J.-C. provoquant de graves troubles à Crotone.

Discobole Lancellotti, copie romaine, vers 120 ap. J.-C., palais Massimo alle Terme
Un serment olympique en quatorze points régit l'organisation des Jeux depuis 338 av. J.-C.[5]. Le 10e point concerne les cas de tricheries qui sont nombreux et durement sanctionnés.
I. Être sujet hellène libre, ni esclave, ni métèque.
II. N'être ni repris de justice, ni d’une moralité douteuse.
III. S’inscrire à l’avance au stage d’un mois du gymnase d’Ellis.
IV. Tout retardataire sera hors concours.
V. Interdiction aux femmes mariées d’assister aux jeux ou de se montrer dans l’Altis sous peine d’être précipitées du rocher du Typaion.
VI. Pendant les exercices, les maîtres (entraîneurs) des athlètes devront être parqués et nus.
VII. Défense de tuer son adversaire ou de chercher à le tuer.
VIII. Défense de le pousser hors des limites.
IX. Défense de l’intimider.
X. Toute corruption d’arbitre ou d’adversaire sera punie du fouet.
XI. Tout concurrent contre lequel ne se présentera pas l’adversaire désigné sera déclaré vainqueur.
XII. Défense aux concurrents de manifester contre le public ou contre les juges.
XIII. Tout concurrent mécontent d'une décision peut en appeler au Sénat contre les arbitres : ceux-ci seront punis ou leur décision annulée si elle est jugée erronée.
XIV. Sera hors concours tout membre du Collège des Juges.
Suite à l'invasion romaine, les Jeux s'ouvrent aux non-Grecs. Le prestige des Jeux est tel que plusieurs empereurs y prennent part. Sur les conseils de l'évêque de
Milan (Ambroise), l'empereur Théodose Ier interdit les Jeux en 393-394 en raison de leur caractère païen.


วันอังคารที่ ๒๒ กรกฎาคม พ.ศ. ๒๕๕๑

Alsace


Alsace (French: Alsace, pronounced [alzas]; Alsatian and German: Elsass, pre-1996 German: Elsaß) is one of the 26 regions of France, located on the eastern border of France, on the west bank of the Upper Rhine, adjacent to Germany and Switzerland. The name "Alsace" derives from the Germanic Ell-sass, meaning "Seated on the Ill"[2]; the Ill is a river in Alsace. Its capital and largest city is Strasbourg. Alsace, previously a part of the Holy Roman Empire, changed hands between France and Germany several times between the 17th and 20th century.
In the course of the 17th century, the entirety of Alsace was gradually annexed under kings
Louis XIII and Louis XIV of France and made one of the provinces of France. Alsace is frequently (although now informally) mentioned in conjunction with Lorraine, because possession of these two régions (as Alsace-Lorraine) was often contested in the 19th and 20th century, following a division among the successors of Charlemagne in the 9th century.
Although Alsace is a German dialect speaking region for most of its history, today nearly all Alsatians speak French. About 25% of the local population is still fluent in the
Alsatian language (as a mother tongue) or in German (as a second language). The place names in this article are in French. See this list for the original German place names.


Geography



Topography
Alsace has an area of 8,283 km², making it the smallest
région of metropolitan France. It is almost four times longer than it is wide, corresponding to a plain between the Rhine in the east and the Vosges mountains in the west.
It includes the
départements of Haut-Rhin and Bas-Rhin (known previously as Sundgau and Nordgau). It borders Germany on the north and the east, Switzerland and Franche-Comté on the south, and Lorraine on the west.
Several
valleys are also found in the région. Its highest point is the Ballon de Guebwiller in Haut-Rhin, which reaches a height of 1426m.

The ballon de Guebwiller, southern face, since the valley of the Thur

[edit] Geology
Alsace is the part of the plain of the Rhine located at the west of the
Rhine, on its left bank. It is a rift or graben, from the Oligocene epoch , associated with its horsts : the Vosges and the Black Forest. The Jura Mountains, formed by slip (induced by the alpine uplift) of the mesozoic cover on the triassic formations goes through the area of Belfort.

[edit] Flora
It contains many
forests, primarily in the Vosges and in Bas-Rhin (Haguenau Forest).

[edit] Climate
Alsace has a semi-
continental climate with cold and dry winters and hot summers. There is little precipitation because the Vosges protect it from the west. The city of Colmar has a sunny microclimate; it is the second driest city in France, with an annual precipitation of just 550 mm, making it ideal for vin d'Alsace (Alsatian wine).

Littérature


Le mot littérature (du latin littera, « lettre », puis litteratura, « écriture », « grammaire », « culture ») désigne principalement[1] :

L'ensemble des œuvres écrites ou orales fondées sur la langue et comportant une dimension esthétique (à la différence par exemple des œuvres scientifiques ou didactiques) : sens attesté en 1764 ;
Les activités de production et d'étude de telles œuvres : sens apparu dans la première partie du XIXe siècle ;
L'ensemble de textes publiés relatifs à un sujet, qu'ils aient ou non une dimension esthétique (d'après l'allemand Literatur, 1758). C'est en ce sens que l'on peut parler par exemple de littérature scientifique. L'expression littérature grise désigne les textes administratifs ou de recherche non publiés servant aux échanges entre professionnels d'une même discipline. Ces sens larges ne sont pas pertinents dans le cadre de la présente rubrique.


Des définitions incertaines


La définition de la littérature en tant qu'ensemble d'œuvres à finalité esthétique est une conception assez moderne. En effet, auparavant, on avait plutôt tendance à attribuer le statut de littérature à des œuvres correspondant à des critères formels assez stricts. Dans sa Poétique, Aristote, un des fondateurs de la critique littéraire, se concentre principalement sur la tragédie et l'épopée en instaurant des règles formelles régissant ces discours. De plus, pour les Grecs, l'Histoire est un art à part entière, inspiré par la muse Clio.L'essai a également appartenu au domaine de la littérature. Son sujet n'était alors pas aussi important que dans les essais contemporains qui ne sont plus considérés comme œuvres littéraires. La philosophie quant à elle n'est pas moins ambiguë: la littérarité des Dialogues de Platon n'est pas remise en question aujourd'hui, ni celle des Pensées de l'empereur romain Marc Aurèle. Par ailleurs, la poésie a souvent été considérée comme la forme littéraire la plus pure, dans laquelle l'esthétique de la littérature est présentée dans sa plus stricte simplicité. Il apparaît donc que la littérarité d'une œuvre est sujette au changement et que les siècles ont vu la littérature s'étoffer et incorporer des formes de plus en plus diversifiées et populaires.

วันพุธที่ ๒ กรกฎาคม พ.ศ. ๒๕๕๑

ศิลปศาสตร์ *


ศิลปศาสตร์ หมายถึง การศึกษาที่มุ่งจะให้ความรู้ทั่วไป และทักษาเชิงปัญญา
มิใช่วิชาชีพเฉพาะด้าน หรือความทักษะเชิงช่าง
เดิมนั้น คำว่า "ศิลปศาสตร์" เป็นศัพท์
ภาษาสันสกฤต
(ศิลฺป + ศาสฺตฺร) หมายถึง วิชาความรู้ทั้งปวง ในภายหลังใช้ในความหมายเดียวกับ
Liberal Arts ในภาษาอังกฤษ ดังระบุคำนิยามไว้ข้างต้น


ในประวัติศาสตร์การศึกษาของตะวันตกนั้น ศิลปศาสตร์ 7 อย่าง
อาจจำแนกได้เป็น 2 กลุ่ม คือ ตริวิอุม (trivium) และ ควอดริวิอุม (quadrivium)
การศึกษาในกลุ่ม ตริวิอุม ประกอบด้วย 3 สาขาวิชา ได้แก่ ไวยากรณ์ (grammar),
ศิลปะการใช้เหตุผล (dialectic หรือ logic) และศิลปะการพูด (rhetoric)
ส่วนการศึกษากลุ่ม ควอดริวิอุม ประกอยด้วย 4 สาขาวิชา
ได้แก่
เลขคณิต, ดนตรี, เรขาคณิต และ ดาราศาสตร์ ศิลปศาสตร์นั้น
ถือเป็นหลักสูตรแกนของมหาวิทยาลัยในยุคกลาง
คำว่า liberal ในคำว่า liberal arts นั้น มาจากศัพท์ภาษาละตินว่า
liberalis หมายถึง "เหมาะแก่เสรีชน" (ชนชั้นสูงด้านสังคมและการเมือง)
ซึ่งตรงกันข้ามกันศิลปะการรับใช้หรือบริการ (servile arts)
ในเบื้องต้นคำว่าศิลปศาสตร์ในแนวคิดของตะวันตก จึงเป็นตัวแทนของทักษะ
และความรู้ทั่วไป ที่จำเป็นต้องใช้ในหมู่ชนชั้นสูงในสังคม ขณะที่ศิลปะบริการนั้น
เป็นตัวแทนของความรู้และทักษะของพ่อค้าผู้เชี่ยวชาญ
ที่จำเป็นต้องรู้ในหมู่ผู้รับใช้ชนชั้นสูง หรือขุนนาง


คณะในศิลปศาสตร์ในประเทศไทย

คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยธรรมศาสตร์
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยมหิดล
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยอุบลราชธานี
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยหัวเฉียวเฉลิมพระเกียรติ
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยรังสิต
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยเทคโนโลยีราชมงคล
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยศรีปทุม
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยสงขลานครินทร์
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยเทคโนโลยีพระจอมเกล้าธนบุรี
คณะศิลปศาสตร์ มหาวิทยาลัยเอเชียอาคเนย์

วันอังคารที่ ๒๔ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๑

Autobus


Historique



Apparu au début du XXe siècle, dans la lignée des diligences et autres voitures de transport en commun à traction animale, ce type de véhicule fut d'abord réservé aux lignes à faible trafic routier, en raison de sa faible capacité (une vingtaine à une trentaine de places).
En
France, la première ligne complète de bus parisien fût inaugurée le 11 juin 1906 et reliait Montmartre à Saint-Germain-des-Prés, sur un parcours de 5,8 kilomètres.
Après la
Seconde Guerre mondiale, l'autobus remplaça progressivement le tramway dans la majorité des villes de France, d'Espagne, de Grande-Bretagne et d'Amérique du Nord.
À partir des
années 1980, l'autobus est parfois remplacé par le tramway, voire le métro, sur les lignes à fort trafic de certaines grandes villes. Ces autres modes de transport ont un coût d'investissement élevé, mais une plus forte capacité modulable, un coût d'exploitation plus faible et sont moins polluants, du fait de leur traction électrique.

วันอังคารที่ ๑๐ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๑

Histoire du piano


Invention du piano-forte


Créé au début du XVIIIe siècle par l'Italien Bartolomeo Cristofori, à Florence, sous l'appellation de piano-forte, le piano naît de l'évolution d'un instrument appelé clavicorde (XVe siècle) et du tympanon (Moyen Âge).
La date de fabrication du premier
piano-forte par Bartolomeo Cristofori est incertaine, mais un inventaire réalisé par ses employeurs, la famille Médicis, indique l'existence d'un instrument en 1698. Cristofori n'aura construit en tout qu'une vingtaine de piano-forte avant sa mort en 1731, et seuls trois d'entre eux sont parvenus jusqu'à nous, datés des années 1720.
Les premiers piano-forte ont particulièrement profité des siècles de travaux et de perfectionnements apportés au clavicorde, notamment par le raffinement des méthodes de construction des structures (en bois à cette époque), ainsi que celles de la conception de la table d'harmonie, du chevalet et du clavier. Cristofori était lui-même un facteur de
clavicordes et de clavecins, bien au fait des techniques de fabrication de tels instruments et des connaissances théoriques associées à celles-ci.
La découverte fondamentale de Cristofori est la résolution d'un problème mécanique intrinsèque aux pianos: les marteaux doivent frapper les cordes mais cesser d'être en contact avec elles une fois frappées afin de ne pas assourdir le son ; ils doivent de plus retourner à leurs positions initiales sans rebondir violemment et ceci rapidement pour permettre aux notes d'être répétées à une vitesse satisfaisante.
Les premiers instruments du facteur italien étaient construits avec des cordes fines et pour cette raison beaucoup moins sonores que les clavicordes ou les clavecins de leur temps. En deux siècles on assistera à un renversement complet du concept d'instrument à cordes frappées : faible tension des cordes, corps sonore léger et audition de la table contre forte tension des cordes, corps sonore lourd et audition de la corde. Néanmoins, comparé au clavicorde, le piano forte amélioré permettait des nuances dynamiques et sonnait bien plus fort, avec une tenue de note plus longue.
Ce nouvel instrument restera peu connu jusqu'à ce qu'un écrivain italien, Scipione Maffei, écrive un article enthousiaste à son propos, y incluant un diagramme de ses mécanismes. Cet article fut distribué d'une manière très large, et la plupart des facteurs de piano-forte des générations suivantes mirent les découvertes de Cristofori en pratique après en avoir pris connaissance.
L'un de ces fabricants était Gottfried Silbermann, connu comme facteur d'orgue. Les piano-forte de Silbermann étaient quasiment des copies conformes de ceux de Cristofori, à une exception importante près : ils possédaient l'ancêtre de la pédale forte, qui permet de relever en même temps tous les étouffoirs sur l'ensemble des cordes ; quasiment tous les pianos construits par la suite reprendront cette innovation. Silbermann montra à
Bach l'un de ses premiers instruments dans les années 1730, mais ce dernier n'apprécia pas l'instrument, trouvant que les notes aiguës avaient un son trop faible pour permettre des dynamiques véritablement intéressantes. Si ces remarques lui valurent une certaine animosité de la part de Silbermann, il semble qu'elles furent prises en compte ; en effet, en 1747, Bach approuvera une version plus récente et perfectionnée de l'instrument.
La facture de piano-forte connut son essor durant la fin du XVIIIe siècle, avec le travail de l'école viennoise, comptant parmi ses membres Johann Andreas Stein et sa fille Nannette Stein ainsi qu'Anton Walter. Les pianos de style « viennois » étaient fabriqués sans cadre avec seulement un barrage en bois, deux cordes par note, et des marteaux recouverts de cuir. C'est pour des instruments de ce type que sont écrits les concertos et sonates de Mozart. Cet instrument avait un son plus doux et plus clair que celui des pianos modernes, et permettait aussi de tenir les notes plus longtemps.

Développement du piano-forte [modifier]
Durant la longue période s'étendant de 1790 à 1890, le
piano-forte de l'époque classique va subir de très nombreux changements qui vont l'amener à sa forme actuelle de « piano moderne ». Cette évolution de l'instrument a été motivée par le besoin permanent des compositeurs et des pianistes d'un son plus puissant et de plus grandes possibilités expressives. Elle fut permise par la révolution industrielle en cours, qui mit à la disposition des facteurs de piano des procédés technologiques permettant de produire des cordes en acier de grande qualité et une plus grande précision d'usinage pour la production des cadres en fonte.
Au fur et à mesure de cette évolution, jouer du piano devint de plus en plus fatigant, la force nécessaire pour enfoncer les touches ainsi que la course nécessaire à l'enfoncement de celles-ci ayant augmentées. La tessiture du piano-forte augmenta elle aussi conséquemment, passant de 5 octaves à l'époque de Mozart aux 7 octaves 1/3 et parfois plus des pianos modernes.
Pendant la première partie de cette période, les progrès technologiques apportés au piano-forte durent beaucoup à la firme anglaise
Broadwood qui avait alors déjà une grande réputation pour le son puissant et majestueux de ses clavecins. Au fil des années, les instruments produits par ce facteur devinrent plus grands, plus puissants, et construits de manière plus robuste. La firme, qui envoya ses instruments à Haydn et Beethoven, fut la première à construire des piano-forte avec une tessiture de plus de 5 octaves : 5 octaves 1/5 dans les années 1790, 6 octaves en 1810 (ce qui permit à Beethoven d'employer les notes ajoutées dans ses dernières œuvres) et 7 octaves en 1820. Les facteurs viennois suivirent aussi cette tendance mais ces deux écoles se distinguent néanmoins par des mécaniques différentes : celle de Broadwood était plus robuste, celle de l'école viennoise plus sensible.

Naissance du piano moderne

Piano à queue Hansen
Au cours des années 1820, les firmes
Erard (1780-1959) et Pleyel (Paris - 1807), développèrent l'instrument et se firent une concurrence stimulante. On sait que Chopin et Liszt, utilisaient leurs pianos. La firme Érard apporta certainement les innovations les plus importantes surtout du point de vue de la mécanique de l'instrument ; plusieurs centaines de brevets qu'elle a déposés en France et en Angleterre décrivant des améliorations importantes en témoignent. Ignace Pleyel, musicien, puis son fils, Antoine, surent quant à eux s'entourer de chercheurs acousticiens et de scientifiques (Gustave Lyon, Auguste Wolf) pour développer de façon importante la sonorité, ils furent en effet les premiers en France à adopter le croisement des cordes et le cadre métallique d'une seule pièce, donnant à l'instrument plus de puissance tout en permettant l'utilisation de cordes plus longues. Pleyel fit par ailleurs construire à Paris la célèbre salle de concert portant son nom et implanta la première usine électrifiée, préfigurant les méthodes de production modernes. En 1821, Sébastien Érard inventa pour sa part le système à répétition, communément et improprement appelé double échappement, qui permet à une note d'être rejouée même si la touche n'est pas encore revenue à sa position initiale ; une innovation que les grands virtuoses sauront utiliser dans des compositions toujours plus difficiles et toujours plus rapides. Amélioré par Henri Herz vers 1840, le principe du double échappement devint finalement le mécanisme standard des pianos à queue, utilisé par tous les facteurs. Le déclin de la firme Erard fut en partie dû a sa volonté de conserver et de produire un instrument à cordes parallèles (ou obliques) dans lequel l'homogénéité du son est meilleure entre les basses et les médiums.
D'autres innovations importantes ont été apportées durant cette période :
l'utilisation de trois cordes au lieu de deux pour toutes les notes sauf les plus graves.
le cadre métallique : situé au-dessus de la table d'harmonie, il sert à supporter la tension des cordes. Le cadre métallique fut la solution permettant au piano de supporter l'augmentation de la tension des cordes, de leur nombre, et de leur épaisseur. Ce cadre métallique fut inventé en 1825 à Boston par Alpheu
Babcock, achevant une tendance d'utilisation croissante de parties métalliques dans la fabrication du piano pour le renforcer.
le croisement des cordes, les cordes basses, passant au dessus des cordes blanches, et portant sur un
chevalet séparé. Cette configuration répartit mieux les tensions mais permet surtout une plus grande longueur de cordes pour un moindre encombrement tout en ramenant le chevalet des basses au centre de la table où la faculté vibratoire de celle-ci est plus importante, donnant une plus grande puissance à l'instrument.
les marteaux recouverts de feutre : les cordes en acier, plus dures, nécessitent l'usage d'un marteau plus mou afin de conserver une belle sonorité. Les marteaux recouverts de feutre compressé furent introduits par le fabricant parisien
Jean-Henri Pape en 1826 ; ils sont désormais universellement utilisés.
la pédale tonale, inventée en 1844 par
Jean Louis Boisselot et améliorée par le facteur Steinway en 1874.
Le piano de concert moderne atteignit sa forme actuelle aux alentours du début du XXe siècle.
Depuis, seules des améliorations mineures ont été apportées à l'instrument. Cependant, l'ajout récent d'une nouvelle pédale, appelée
pédale harmonique par son inventeur, a éveillé l'intérêt de pianistes renommés tels que Martha Argerich, Anne Queffélec ou Georges Pludermacher.


วันจันทร์ที่ ๒ มิถุนายน พ.ศ. ๒๕๕๑

Crayon mine

Le crayon mine, souvent appelé crayon à papier, ou dans le nord de la France crayon de bois, crayon-bois ou crayon gris, ou dans l'est de la France crayon de papier. Au Canada il est souvent appelé crayon de plomb alors que crayon à mines désigne plutôt les crayons (de plastique ou de métal) à mines rechargeables. Le crayon est utilisé dans de nombreux domaines. Le fait qu'il soit facile d'effacer ses traits à l'aide d'une gomme est l'une des raisons de son succès.
Il est constitué d'au moins deux parties :
un centre en graphite mélangé à de l'argile, appelé
mine, servant à laisser des traces ;
une protection en bois protégeant la mine de la cassure et les doigts de l'utilisateur de traces noires.
Le crayon mine a été mis au point par
Nicolas-Jacques Conté en 1795 pour remplacer un graphite pur (appelé plombagine) provenant d'Angleterre. Parfois, à une de ses extrémités, se trouve une petite gomme permettant quelques effacements.
Avant la généralisation de l'invention de Conté, le crayon était un tube métallique fendu et muni d'une petite bague coulissante pour maintenir la
mine, ceci aux deux extrémités, ce qui permettait d'utiliser deux mines différentes (plombagine et craie blanche, ou sanguine, sépia, etc). Par la suite, pour le dessin technique ou de précision, le crayon mine a été remplacé par le portemine utilisant des mines aux diamètres calibrés de 0,3 - 0,5 - 0,7 ou 0,9 mm (pour les principaux formats).

วันพฤหัสบดีที่ ๒๙ พฤษภาคม พ.ศ. ๒๕๕๑

Classification of cookies

Cookies are broadly classified according to how they are formed, including at least these categories:
Drop cookies are made from a relatively soft dough that is dropped by spoonfuls onto the baking sheet. During baking, the mounds of dough spread and flatten.
Chocolate chip cookies (Tollhouse cookies), peanut butter cookies, and oatmeal cookies are popular examples of drop cookies.
Refrigerator cookies are made from a stiff dough that is refrigerated to become even stiffer. The dough is typically shaped into cylinders which are sliced into round cookies before baking.
Molded cookies are also made from a stiffer dough that is molded into balls or cookie shapes by hand before baking.
Snickerdoodles are an example of molded cookies.
Rolled cookies are made from a stiffer dough that is rolled out and cut into shapes with a
cookie cutter. Gingerbread men are an example.
Pressed cookies are made from a soft dough that is extruded from a
cookie press into various decorative shapes before baking. Spritzgebäck are an example of a pressed cookie.
Bar cookies consist of batter or other ingredients that are poured or pressed into a pan (sometimes in multiple layers), and cut into cookie-sized pieces after baking.
Brownies are an example of a batter-type bar cookie, while Rice Krispie treats are a bar cookie that doesn't require baking, perhaps similar to a cereal bar. In British English, bar cookies are known as "tray bakes".
Sandwich cookies are rolled or pressed cookies that are assembled as a
sandwich with a sweet filling. Fillings may be with marshmallow, jam, or icing. The Oreo cookie, made of two chocolate cookies with a vanilla icing filling is an example.
Fried cookies including traditional cookies such as the krusczyki,
rosettes and fattigmann as well as a newer American trend of deep-frying ordinary drop cookie dough.

Six types of cookies
Cookies also may be decorated with an icing, especially
chocolate, and closely resemble a type of confectionery.