
Il est constitué d'au moins deux parties :
un centre en graphite mélangé à de l'argile, appelé mine, servant à laisser des traces ;
une protection en bois protégeant la mine de la cassure et les doigts de l'utilisateur de traces noires.
Le crayon mine a été mis au point par Nicolas-Jacques Conté en 1795 pour remplacer un graphite pur (appelé plombagine) provenant d'Angleterre. Parfois, à une de ses extrémités, se trouve une petite gomme permettant quelques effacements.
Avant la généralisation de l'invention de Conté, le crayon était un tube métallique fendu et muni d'une petite bague coulissante pour maintenir la mine, ceci aux deux extrémités, ce qui permettait d'utiliser deux mines différentes (plombagine et craie blanche, ou sanguine, sépia, etc). Par la suite, pour le dessin technique ou de précision, le crayon mine a été remplacé par le portemine utilisant des mines aux diamètres calibrés de 0,3 - 0,5 - 0,7 ou 0,9 mm (pour les principaux formats).
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