Histoire Les premier éventail chinois était en plume, ils utilisent d'ailleurs le même caractère pour désigner les plumes et les éventails[1]. Leurs éventails au IIe siècle était déjà en bambou. Ils furent importés en Europe par les Portugais à partir du XVIe siècle. L'éventail en Europe [modifier] Introduit en France par Marie de Médicis, objet favori d'Élisabeth Ire d'Angleterre, il a connu un important développement en Europe aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle. Produit essentiellement en France, en Angleterre, aux Pays-Bas et en Italie, ce fut d'abord un objet aristocratique et artistique, reprenant les sujets de tableaux connus tant sur les feuilles que sur les montures d'ivoire, de nacre ou d'écaille. détail d'un éventail du XVIIIe siècle Les sujets devinrent souvent moins recherchés avec les bergerades de la fin du XVIIIe siècle, la qualité moindre minorant le prix et facilitant la diffusion de l'objet dans la classe moyenne. Il devint même populaire grâce aux techniques d'impression (parfois même vecteur de propagande politique pendant la Révolution). C'est à cette période qu'il disparut presque en France, pour ne réapparaître qu'avec plus de vigueur après 1830, connaissant un second âge d'or pendant le Second Empire et atteignant sa taille maximale vers 1890.Certains vendeurs d'éventails ont inventé au XIXe siècle pour son maniement un langage très élaboré et codifié. Il est quelque peu tombé en désuétude pendant l'entre-deux-guerres, hormis en tant qu'objet publicitaire (parfois d'excellente qualité) et hormis aussi dans quelques pays comme l'Espagne, où la fabrication s'était établie moins d'un siècle plus tôt.Il continue d'accompagner quelques personnages iconoclastes de notre époque, symbolisant le désir d'élévation et d'autorité, le refus de la conformité et soulignant l'originalité d'un style. L'éventail en Asie [modifier] En Orient, même s'il fut aussi fabriqué au goût européen dès le XVIIe siècle, il est resté un élément essentiel de l'art de vivre et de la culture. Les plus grands peintres chinois ou japonais l'ont utilisé comme support pour leurs œuvres. Objet indissociable les rites traditionnels de la Chine et du Japon, l'éventail est un accessoire fondamental dans le théâtre japonaisNô de même que dans certains arts martiaux. L'éventail comme arme [modifier] Éventail d'entrainement En Chine l'éventail est aussi utilisé dans l'art du Kung fu comme l'arme suprême annihilant le corps et l'esprit. Il est également présent au Tai-chi-chuan et dans la danse traditionnelle chinoise. Gunsen Pendant le Moyen-Age au Japon, le chef de guerre (le shogun) portait un gunsen (littéralement « éventail de guerre ») : ce type d'éventail avait une monture forgée en acier et servait à la fois de signe de ralliement et de direction des troupes (brandi ouvert), et à la fois de garde et de protection (une fois fermé) lors d'un combat au sabre. Le tessen, de forme plus européenne, était plutôt réservé aux femmes.
La légende rapporte que le Japon fut fondé au VIIe siècle av. J.-C. par l’empereur Jimmu. Le système d’écriture chinois, ainsi que le bouddhisme furent introduits durant les Ve et VIe siècles par les moines bouddhistes chinois et coréens, initiant une longue période d’influence culturelle chinoise. Les empereurs étaient les dirigeants symboliques, alors que le véritable pouvoir était le plus souvent tenu par les puissants nobles de la Cour, régents ou shogun (général en chef des armées). À partir du XVIe siècle, des commerçants venus du Portugal, d’Espagne, des Pays-Bas et d’Angleterre débarquèrent au Japon avec des missionnaireschrétiens. Pendant la première partie du XVIIe siècle, le shogunat craignit que ces missionnaires fussent la source de périls analogues à ceux que subirent ses voisins (telles les prémices d’une conquête militaire par les puissances européennes ou un anéantissement total, pareil à celui que subit le royaume tibétain de Gugé en 1630 suite à l'accueil bienveillant de missionnaires chrétiens par son roi, accueil provoquant l'invasion du Ladakh par son voisin rival, qui profita de l'agitation engendrée par la colère des autorités bouddhistes contre la menace de la perte de leur monopole religieux et de leur influence); aussi la religion chrétienne fut formellement interdite en 1635 sous peine de mort sous la torture. Puis, en 1639, le Japon cessa toute relation avec l’étranger, à l'exception de certains contacts restreints avec des marchands chinois et hollandais à Nagasaki (長崎), précisément sur l’île de Dejima (出島). Cet isolement volontaire de deux siècles dura jusqu’à ce que les États-Unis, avec le commodore Matthew Perry, forcent le Japon à s’ouvrir à l’Occident par la politique de la canonnière en signant la Convention de Kanagawa en 1854 après le pilonnage des ports japonais. En seulement quelques années, le renouement de contacts intensifs avec l’Occident transforma profondément la société japonaise. Le shogunat fut forcé de démissionner et l’Empereur fut remis au pouvoir. La restauration Meiji de 1868 initia de nombreuses réformes. Le système de type féodal et les samouraï furent officiellement abolis et de nombreuses institutions occidentales furent adoptées. De nouveaux systèmes juridiques et de gouvernement ainsi que d’importantes réformes économiques, sociales et militaires transformèrent le Japon en une puissance régionale. Ces mutations donnèrent naissance à une forte ambition qui se transforma en guerre contre la Chine (1895) et contre la Russie (1905), dans laquelle le Japon gagna la Corée, Taiwan et d’autres territoires. L’expansionnisme militaire du Japon avait débuté dès le début du XXe siècle avec l’annexion de la Corée en 1910. Il prit de l'ampleur au cours de l’ère Shôwa avec l’invasion de la Mandchourie en 1931 puis des provinces du nord de la Chine. En 1937, l'empire se lança dans une invasion à grande ampleur de la Chine qui débuta avec le Bombardement stratégique de Shanghai et de Guangzhou, entraînant une résolution de blâme de la Société des nations à l’encontre du Japon mais surtout un écrasement du Kuomingtan. Plus de deux cent mille civils chinois furent exterminés lors du massacre de Nankin (Nanjing) par l'armée impériale japonaise. L’attaque de Pearl Harbor dans l’archipel d’Hawaii en 1941, visant à détruire toute la flotte de guerre américaine, engagea l'Empire dans la Seconde Guerre mondiale. Le Japon agrandit dès lors encore son emprise jusqu'à occuper la Birmanie, la Thaîlande, Hong-Kong, Singapour, l'Indonésie, la Nouvelle-Guinée et l'essentiel des îles du Pacifique. Ce gigantesque empire militaire, appelé officiellement Sphère de coprospérité de la grande Asie orientale, était destiné à servir de réservoir de matières premières. L'occupation de ces territoires fut marquée par d'innombrables exactions à l'encontre des populations d'Extrême-Orient, crimes pour lesquels les pays voisins du Japon demandent toujours des excuses ou réparations aujourd'hui. L' empereur Showa procéda finalement à la reddition de l'empire du Japon le 15 août1945 après les bombardements atomiques de Hiroshima et Nagasaki et l'invasion soviétique du Manchukuo. Le traité de paix avec la Russie est toujours en négociation, en règlement du problème des îles Kouriles du sud, occupées par cette dernière depuis la fin du conflit. Le Japon dévasté après-guerre, et occupé par les troupes du gouverneur de guerre Mac Arthur, confiné à l’archipel, resta sous la tutelle des États-Unis jusqu’en 1951 (traité de San Francisco). Ceux-ci imposèrent une nouvelle constitution, plus démocratique, et fournirent une aide financière qui encouragea le renouveau du pays. L’économie se rétablit rapidement et permit le retour de la prospérité dans l'archipel suite aux Jeux Olympiques de Tokyo et au lancement du Shinkansen en 1964. Depuis les années 50 jusqu'aux années 80, le Japon connaît une apogée culturelle et pour le moins économique et une formidable croissance. Toutefois, ce « miracle économique » prend fin au début des années 1990, date à laquelle la bulle spéculative japonaise éclate.
Un appareil photographique se compose au moins d'une chambre noire, avec d'un côté une ouverture pour faire entrer la lumière émise par la scène à photographier et de l'autre une surface sensible pour enregistrer cette lumière. Dans le cas le plus fréquent, un objectif est positionné au niveau de l'ouverture. Le plus souvent, il contient un diaphragme permettant de doser la quantité de lumière qui entre, ainsi que la profondeur de champ (ces deux aspects étant liés). Certains objectifs (des modèles simples pour amateurs ou les objectifs catadioptriques) utilisent des ouvertures fixes. Il existe quelques appareils qui n'utilisent pas d'objectif : les sténopés. Seule une ouverture minuscule permet la formation d'une image relativement nette, ce qui empêche de faire entrer une forte quantité de lumière et aboutit donc à des temps de pose longs. D'où l'intérêt de l'objectif : faire entrer beaucoup plus de lumière (et obtenir une image plus nette). On installe aussi la plupart du temps un obturateur qui permet de contrôler le temps d'exposition de la surface sensible. Certaines vieilles chambres s'en passent : l'opérateur (le photographe) enlève juste un bouchon devant l'objectif le temps de la pose - mais cela est valable surtout pour les longues poses, couramment employées aux débuts de la photographie, en accord avec la lenteur des émulsions d'alors. Les surfaces sensibles utilisées procèdent de 2 grandes familles : l'argentique et le numérique. Dans le premier cas, on utilise une émulsion de gélatine et de sels d'argent couchée sur une plaque de verre ou une pellicule, dans le deuxième un capteur (les images sont alors enregistrées sur un support électronique distinct du capteur, le plus souvent une carte mémoire).
Je m'appelle Patcharida Onsampant>> J'ai dix-sept ans. >>Je suis neé le 3 février 1991.>>J’ habite chez mes parents à Nakhonpathom .>>J’ aime la musique . Mim, Bow, Poo, Bew, Bee, Buth Yui et Nam sont mes meilleures aimes.